Aline D. Janvier {100%}

Kristen Bell Paperweight

Janvier Aline, Deborah survivant a g e ; « 22 ans » et toutes mes dents, encore heureux d'ailleurs ! o r i g i n e ; « Française » et fière de l'être, la france est un très beau pays ! c a r a c t è r e ; « timide ; lunatique ; rancunière ; douce ; sociable ; altruiste » o c c u p a t i o n ; « Infirmière » C'est la mort de ma mère qui m'a poussé vers ce métier. p l u s ; elle aime les films à l'eau de rose ; elle adore l'odeur de la lavande qui lui rappelle sa mère ; elle a un perçing au nombril ; elle a un tatouage dans le bas du dos, écriture elfique qui signifie : Florian, true love always.

Vous devez inclure des traits de caractère et de physiques dans votre histoire.

PART I ; Mon passé, comme celui de tout un chacun il est composé de bons comme de mauvais moment, il y a des choses dont je suis fière et d'autre pas du tout, je n'aime pas trop raconter les details de ma vie, à vrai dire, je n'aime pas repenser au passé car selon moi ça ne sert à rien de se concentrer sur le passé, le futur est bien plus important, c'est de lui dont on doit s'occuper, le passé, ce n'est qu'une histoire à raconter, une histoire que l'on ne peut pas changer ….

Avignon, une jolie petite ville située dans le Sud de la france, il y a 22 ans de cela, le 27 août, dans la clinique de la ville, sur les coups de minuits annonçant l'arrivée du 28 Août, les pleurs d'un enfant se firent entendre, accompagnés d'un long soupire de la femme qui avait tant souffert pour qu'arrivent ses cris stridents, puis des rires de joie, venant de cette femme et de son mari, c'est ainsi que je suis venue au monde, c'est dans ses conditions que j'ouvris pour la première fois mes yeux bleus sur un monde que j'aurais plus tard bien du mal à regarder sans avoir envie de pleurer à nouveau, comme durant les premières minutes de ma vie.

Après quelques jour d'hospitalisation, Deborah Janvier pouvait rentrée chez elle en compagnie de son mari, Alexandre et de leur fille prénomée Aline Deborah Janvier, une jolie petite fille a qui la vie semblait déjà sourire, il va de soit que je ne me souviens pas de cette étape de ma vie, mais j'ai vu de nombreux album photo et mes parents m'ont souvent raconté mon enfance, qui pour eux était quelque chose d'extraordinaire, j'étais leur premier enfant et je serais leur seul.

Les années ont passées, j'ai grandis, passant du stade de bébé incapable de faire quoique se soit seul à celui d'enfant avide de découvrir tout les secrets de notre monde, cherchant tout ce qu'il pouvait chercher, jouant avec tout ce qu'il trouvait, pleurant à chaque occasion et adepte de tout les caprices inutiles. La période où les parents regrettent d'avoir désiré un enfant ou d'avoir oublier le préservatif ! Enfin bon, les miens s'en sont plaint, mais ils étaient tellement hereux d'avoir transmis un peu d'eux même sur cette terre où chaque vie est éphémére, où chaque existence est vaine. Encore cette fois, je ne peux pas entrer dans les details, car je ne m'en souviens plus, il nous reste des brides de souvenirs, des images jaunies, des évènements flous, le passé s'efface inéluctablement de nos cerveaux d'humains, parfois trop tôt, c'est ce que la vie m'apprendra....

J'ai continué à grandir, je suis devenue une collégienne en pleine crise d'adolescence, je voulais que mes parents me laissent de l'autonomie, c'est comme ça que je suis devenue un peu plus responsable, j'étais déjà très mature, je savais m'assumer seule, j'avais tendence à penser que je n'avais besoin de l'aide de personne, et pourtant j'ai toujours était préte à donner la mienne, ça peut paraître étrange mais depuis toujours j'aime aider les autres, mais j'ai mis beaucoup de temps à accepter que se soit les autres qui m'aide, après y avoir réfléchis, je me suis dit que c'était peut être à cause de ma timidité, elle m'empechait d'allez me plaindre, elle m'empechait de me confier. Mais heureusement, elle ne m'empechait pas d'avoir des amis, car même si je n'étais pas de celles qui vont facilement vers les autres, je laissais venir les gens vers moi, encore un trait de caractère qu'il me reste encore, je pense que l'adolescence est vraiment la periode pendant laquelle on se forge la personnalité que l'on aura tout au long de notre vie, cette période où on apprend ce qu'est vraiment la vie.

Moi ce que j'en ai retenue, c'est qu'elle était vaine, on avait beau être là, sur cette terre, on ne representait rien, à l'echelle du monde notre vie ne representait qu'une seconde, courte et dont plus rien ne reste une fois qu'elle est écoulée. On acquiert pas cette façon de penser sans raison. Il faut qu'un événement perturbe notre vie pour se mettre à penser que la vie n'est rien. Moi ce qui m'a ammené à voir les choses ainsi c'est le décés de ma mère, il est arrivé à un moment où je pensais avoir une belle vie, et il a tout gaché. J'avais 16 ans, j'avais un petit ami depuis un an, j'avais des amis géniaux, j'étais une bonne élève, je pensais que mon avenir serait beau et je pensais que je pourrais toujours aller ma mère pour lui raconter mes histoires de filles, seulement le destin en avait décidé autrement, on a decouvert qu'elle était atteinte d'un cancer, le diagnostic est arrivé trop tard, la maladie allait emporter ma mère dans les mois à venir.

Le jour où on apprend ça, on se demande comment faire pour sourire à la personne qui nous a donné la vie, comment faire en sorte qu'elle pense que tout va bien quand tout va mal ? Comment accépté d'être là, auprés d'elle tout en sachant que dans quelques mois elle ne serait plus là ? J'en ai beaucoup souffert. Mais devant la fin, on s'accroche, on profite de ce qui nous reste même si les questions sur l'avenir nous hantent, on lutte pour réussir à surmonter nos cauchemard parce qu'on sais que le temps est court. C'était ma mère, elle m'avait tout apporter, je l'aimais beaucoup, je l'aimais trop peut être, je voulais qu'elle vive les meilleurs mois de sa vie alors j'ai fais comme si à la fin, tout irait bien et je me suis comporter comme une fille qui aime sa mère, jusqu'au jour où, trois mois après le diagnostic, elle décéda.

Cet événement fut plus douloureux que tout ce que j'avais pus imaginer, j'ai crus que jamais je ne m'en releverais mais il y avait encore des gens, des gens qui m'ont aidée, mon père, mes amis et lui : Florian, mon petit ami. On avait beau se disputait souvent, on s'aimait déjà et ça m'a beaucoup aidé de l'avoir près de moi. C'est grâce a lui que j'ai trouvé le moyen de profiter de cette vie qu'on m'avait donné et qu'on me reprendrait très vite. J'ai aussi trouvé un but à atteindre : Les Etats Unis ! Je rêvais de partir vivre là bas. J'aurais voulu devenir medecin pour sauver les gens, mais c'était trop dur pour moi alors j'ai choisi infimière.

Dés que j'eu l'âge de travailler, c'est à dire 18 ans, je faisais des petits boulots par ci par là afin d'économiser pour partir en Amérique après mes études d'infirmières. A ce moment là, j'étais toujours avec Florian, 3 ans, notre couple était solide et nous avions largement depassé le stade amourette de lycée, il m'avais promis de venir aux états unis avec moi, nous avions choisi Los Angeles, la californie, pour sa chaleur, pour ses plages, pour cette ville qui en fait rêver les étrangers ! C'est aussi à cet âge là que je me suis faite tatouée, de toute évidence, j'avais était obligée d'attendre la majorité sinon mon père aurait refusé ! Je me suis fait tatouée « Florian, True Love Always » en ce qu'on pourrait appellé de l'écriture élfique, dans le bas du dos. J'ai profité de ma majorité aussi pour me faire percer le nombril !

Les années ont continuées à s'écouler, j'ai terminé mes études après deux ans, j'avais 20 ans, j'étais toujours avec Florian, 5 ans et toujours amoureux, c'est presque un exploi pour un si jeune couple ! Même si on s'est souvent disputé, même s'il nous ai arrivé de nous séparer, nous sommes toujours revenu l'un vers l'autre, je n'ai jamais était en couple avec personne d'autre, il a était mon premier petit ami et j'ai toujours esperé qu'il reste le seul, je voulais devenir sa femme, je voulais qu'il soit le père de mes enfants, mais encore une fois, mon ennemie nomée destinée en avait décidé autrement.

Donc, nous avions 20 ans et nous sommes partis à Los Angeles, j'ai refais un ans d'étude, je me suis inscrite à une fac et j'ai rencontrée une fille extraordinaire Lily Spencer, nous sommes devenues amies, meilleures amies même ! Dés la première fois que je l'ai vue, j'ai su que je pouvais lui faire confiance et je pense qu'elle a ressentie la même chose de son côté. Je suis vraiment heureuse de la connaître !

Je suis devenue infirmière recemment, mes deux rêves se sont réalisés, j'étais vraiment hereuse, tout allait bien pour moi, Florian venait de me demander en mariage, j'avais accépté, que demander de plus ? Rien, j'avais tout, mais un coup de téléphone m'a ramené sur terre, je devais me rendre le plus vite possible en france, mon père avait des problémes, le 4 avril 2009, je pris l'avion en direction de la france, mais il n'arriva pas a destination, il s'ecrasa et moi je fus plongée dans le coma.

PART II ;

Quand j'ouvrais les yeux, j'étais dans une chambre d'hôpital, depuis que j'étais infirmière, j'avais de nombreuses fois arpenté les chambres de cet hôpital, mais jamais en tant que patiente, dans le silence la piéce, seul les « bip » régulier de l'éléctrocardiogramme imitant les batements calmes de mon coeur se faisaient entendre, à en voir les fleurs et les cadeaux, j'avais reçue de la visite, Florian et Lily sans doutes, mais ce n'était pas le plus important, je n'avais aucune idée du temps que j'avais passé dans son lit, je me souvenais juste que j'avais pris l'avion pour allez voir mon père, mais je n'étais pas arrivée à destination, non, j'étais arrivée ici, à l'hôpitâl, je vis un calendrier posé sur la table de chevet, les jours depuis le 4 avril jusqu'au 10 de ce même mois étaient barré, ça devait être la date d'aujourd'hui, mais encore une fois ce n'est pas important.

Les heures passèrent, le medecin aussi, puis Lily, elle était ravie que je me sois reveillée, mais elle avait l'air triste. Après nos retrouvailles, elle me dit qu'elle avait une mauvaise nouvelle à m'annoncer, je m'attendais au pire, mais pas à ce qui allait suivre était bien plus horrible que ce que j'avais imaginé, Florian avait eu un accident de voiture en venant me voir à l'hôpital, il était vivant, mais il avait perdu la mémoire, il ne se souvenait pas plus de mon existence que de la sienne. Devant cette nouvelle toute ma vie s'écroula, j'avais perdu ma mère, serais-je capable de perdre l'homme que j'aimais ?

Quand je pu enfin sortir de l'hôpital, je me rendis dans l'appartement où je vivais avec Florian, il était déjà sortis lui. Et quand je le pris dans mes bras, il me demanda qui j'étais, j'eu l'impression que mon coeur se brisa en milles morceau, le choc fut dur, mais je pensais être capable de rester près de lui, de l'aider à surmonter cette épreuve, mais je n'étais pas assez forte. Les jours passèrent sans qu'il ne se souvienne, je faisais des efforts, mais ça me faisais trop mal alors je suis partie, comme dans un couple qui se sépare définitivement, j'ai pris mes affaires, j'ai fais mes valises et j'ai quitté l'appartement, il ne comprenait pas, personne ne pouvait comprendre ce que je ressentais, j'ai loué un autre appartement et j'ai laissé Lily s'occuper de Florian, je lui faisais confiance, je pensais qu'elle ferai tout pour l'aider à se souvenir de qui j'étais. J'avais placé tout mes espoirs en elle, et elle le faisait car elle savait que moi je ne pouvais plus regarder Florian sans me mettre à pleurer, sans me sentir anéhantie.

J'avais confiance, une confiance aveugle, on ne doute pas de sa meilleure amie, on croit en elle jusqu'au jour où elle nous déçoit. Ce soir là j'avais décidé d'allez chez elle pour la remercier de ce qu'elle faisait pour moi, j'avais ramené une bouteille de vin, j'avais sonné à sa porte, mais pas de réponse, pourtant il y'avait de la lumière, alors je suis entrée, j'ai apellé « Lily » plusieures fois et je suis entrée dans la chambre de ma meilleure amie, et je l'ai vue avec Florian, dans le même lit, le choc m'a fais lâcher ma bouteille de vin sur le sol de sa chambre, tâchant ma robe blanche d'un rouge sombre qui aurait presque pu ressembler à du sang, ça aurait pu être du sang tellement j'ai cru que j'allais la tuer !

Mais je suis une fille raisonable, alors je me suis contenté de fuir, je suis partie dans un bar, j'ai encore pleurer et je me suis soualer, suffisament pour avoir la gueule de bois au reveil, mais pas assez pour oublier la scéne dont j'avais était témoin. Je lui faisais confiance et elle m'avais trahie, ça aurait peut être du ne rien me faire, après tout je n'étais plus rien pour Florian, mais j'étais encore la meilleure amie de Lily ! Je ne lui pardonnerais jamais d'avoir fait une chose pareil …

Et le temps continu à passer me prouvant une nouvelle fois que la vie n'est rien, j'avais arrêtais de bosser, on m'avais virée, je passais mes journées dans les bars à essayer d'oublier que ce qui reste de ma vie c'est juste un long desastre, mes rêves se sont envolés en fumée, je ne suis plus rien d'autre qu'une fille misérable et seule, je n'ai plus d'amis, je n'ai plus de fiancé et pourtant j'ai toujours cette bague au doigt. Je n'avais plus rien a attendre de la vie …

J'étais dans cet état déplorable, jusqu'au jour ou je rencontrais un autre homme quelqu'un d'adorable, il m'avait reconduite chez moi un soir ou comme tout les autres j'étais bourée, c'était un inconnu mais il m'avait aidée et le lendemin, dans ce même bar, il était revenu, il m'avais empêché de boire autant que la veille, le jour suivant ce fu pareil, celui d'après aussi, jusqu'à ce que petit à petit, je revis enfin le soleil eclairer mes jours. Cet homme s'apellais Alex Stanford, il avait un an de plus que moi et nous sommes devenus amis, juste amis parce qu'il m'étais sans doute impossible d'envisager plus, à cause de Florian …

Bonne chance pour la suite de ta fiche.
J'ai été un peu vicieuse pour le code, il faut faire des recherches sur google si on ne connait pas XD
Je te la réserves ?

Oh oui CAPPIE. mais c'est mon mien =)

Oui moi non plus je n'avais pas fait le rapprochement avant vois tu. C'est en fait du à une vidéo visionnée sur youtube. Mais je me met à raconter ma vie aussi ^^

Je te le fais.
Tu as une semaine, surtout sachant que c'est les exams en ce moment.

Non lui je le partage pas XD
Surtout pas après avoir vu la fin de la saison 2 <3

Oui je nous trouves particulièrement intéressantes. Mais arrêtes de flooder padawan. AU BOULOT !

J'ai pas encore vu la saison 2 =(

Je suis entiérement d'accord u__u
Mdr, c'est bon j'ai fini, mais je poste la fin ici
Parce que sinon il me dit que c'est trop long -__-

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Fin II-Futur.

Les jours passèrent, les mois même, j'avais repris le travail, je n'étais plus dépendante à l'acool et je renaissais de mes cendre grâce à Alex je commençais à oublier Florian, j'avais même reussis à me separer de ma bague de fiançailles. Je n'adraissais plus la parole à Lily, en fait c'était limite si je l'avais oubliée, jusqu'au jour où je la vis à l'hôpital, je ne pouvais toujours pas la regarder en face, mais je connaissais son medecin, alors je lui demandais des renseignement sur l'état de santé de mon ancienne amie, ce jusqu'au jour ou j'appris son décès, j'aurais pu me sentir soulagée, mais non, j'étais triste, je regrettais de ne pas avoir était à ses côtés de ne pas lui avoir pardonné ses erreures, je me souvenais des derniers mois passé avec ma mère, elle avait était si heureuse de ma presence à ses côtés … Je crois que Lily l'aurait mérité aussi, mais j'aurais était incapable de lui pardonner entiérement. J'ai été à son enterement, j'ai pleuré sa mort comme une amie l'aurais fait, je crois que malgrés les erreurs que font les gens, on ne peut pas accépter leur mort.

J'avais tout perdu en si peu de temps, j'aurais tellement aimé qu'on me donne une seconde chance pour que je puisse changer les choses, mais le passé c'est le passé, on ne peut pas le changer, mais qu'en est-il du furur ? Sur cette pensée, je fermais les yeux et tout s'assombrissait autour moi jusqu'à ce que je sois plongée dans le noir.

Quand j'ouvrais les yeux, j'étais dans une chambre d'hôpital, depuis que j'étais infirmière, j'avais de nombreuses fois arpenté les chambres de cet hôpital, mais jamais en tant que patiente, dans le silence la piéce, seul les « bip » régulier de l'éléctrocardiogramme imitant les batements calmes de mon coeur se faisaient entendre, à en voir les fleurs et les cadeaux, j'avais reçue de la visite, Florian et Lily sans doutes, mais ce n'était pas le plus important, je n'avais aucune idée du temps que j'avais passé dans son lit, je me souvenais juste que j'avais pris l'avion pour allez voir mon père, mais je n'étais pas arrivée à destination, non, j'étais arrivée ici, à l'hôpital, je vis un calendrier posé sur la table de chevet, les jours depuis le 4 avril jusqu'au 10 de ce même mois étaient barré, ça devait être la date d'aujourd'hui, mais encore une fois ce n'est pas important. J'avais fais un drôle de rêve, un rêve qui semblait être si réél. Peut être qu'il était … Et qu'on venait de m'accorder la deuxiéme chance que j'avais demandé ….



VOTRE PRENOM ; Anaïs
AGE ; 16 ans
OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ; Sur un Top Site
VOTRE OPINION ; J'adore =D
CODE ;

Spoiler:

(J'ai fini la saison 5 des frères Scott hier, une chance car sinon j'aurais était incapable de trouver le code ^^')
EXEMPLE DE POST ;

Spoiler:

Validée mamselle !

mais de rien.